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RechercherDerniers commentairesmerci pour le concert d'hier soir à aix en othe, ainsi que pour les dédicaces ( du riff hifi chez les rockeurs
Par RICHIER Philippe, le 07.07.2024
via romance site officiel :
http://viar omance.e-monsi te.com/
disco graphie officiel et officieuse disponib
Par Via romance, le 08.04.2021
mon ami d'enfance. les jeux d'indiens, il était "bison noir", et moi "biche agile".
la forêt, ses grands arbr
Par Anonyme, le 21.11.2020
j' ai connu les 5 !
Par Anonyme, le 24.07.2020
merci mon ami, amour.
Par Stéphane Hervé, le 24.07.2020
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Date de création : 04.04.2011
Dernière mise à jour :
20.10.2022
514 articles
Vendredi 7 Death Ambre.
On n’est pas beaucoup à Paris à posséder des tee-shirts du Texas ! Celui-là, il a 21 ans. Il s’en est goinfré des machines à laver ; il a toujours résisté à la pression ; ses couleurs sont presque intactes ; il n’a qu’un trou, cause mite ou pétard. Je garde le trou, car j’aime bien les trous dans les fringues. Ce n’est pas très distingué ; on se fait remarquer de manière désobligeante à cause de cela. Mais j’y peux rien, j’aime les trous. J’en ai sur pas mal de fringues, mais ça ne se voit pas. Pour en revenir au Texas, j’y suis allé 2 années de suite, précisément à Austin. Ce n’est pas Dallas, pas de feu JR Ewing en vue, juste des étudiants, et une concentration de clubs où la musique rock est reine. Pensez donc, 400 concerts en 4 jours dans 30 lieux de la ville, comme si les groupes jouaient à la chaine. Les Ricains nous foutent une bonne claque et la honte tellement ils sont bourrés de talent, qu’ils possèdent, sur le bout des doigts, le rock est leur culture, comme nous la valse musette (c’est à dire pas du tout). Nous y avons joué avec les Garçons Bouchers au festival South By Southwest. Les Texans qui nous appréciaient, nous considéraient comme un groupe de world music. J’y ai découvert la Corona dont je me voyais bien importateur en France. Ppppffff… Si j’avais su… J’aurai p’tête été pote avec l’ancien président alzheimérien. J’étais logé 2 ans de suite chez les Smuck, le parfait couple Américain de la middle class. Je dormais sur un waterbed. J’ai rencontré Annick Souhami. On a la même date de naissance, juste 10 ans d’écart (c’est moi les nez). Maintenant, elle est mariée et s’appelle Annick Baudet ; pas très Américain comme nom. On s’envoie des petits coucous de temps en temps. Je lui ai parlé des trois Baudets : elle n’a pas relevé. En tête, je garde une très belle image de là-bas. Tôt le matin de mon départ, une lumière exceptionnelle, des ballons dirigeables qui se découpent dans un ciel bleu indigo.
En revanche, je ne suis jamais allé en Australie ; j’en ai d’ces regrets, tiens ! J’avais promis à ma fille que dès ces dix ans, on irait là-bas ; elle en 23 ans ; je n’ai pas tenu parole : honte à moi !! Ma compensation, benh tiens, elle est là, dans l’assiette. J’avais presque honte en le commandant, mais je me suis dit que quand même, une fois dans ma vie, je me devais de manger du kangourou. Mes camarades accompagnants, Mohand et David n’osent pas. Faut tenter non ? Comme quand j’ai débarqué au Vietnam, qu’un camarade nous avait emmené en banlieue d’Hanoï pour manger du serpent. Tout un rituel autour de la bête : combat avec mangouste. Découpage de la bête devant nos yeux pas hagards ; elle se vide son sang, on le boit. Puis, l’un d’entre nous mange le cœur encore chaud et battant. Finalement, rien à voir, surtout au niveau du goût. Il est bien bon ce kangourou. Viande super tendre, proche du bœuf, en un peu plus sauvage. Je ne peux m’empêcher de penser à Skippy, notre ami kangourou, mon ami de mon enfance à la télévision. Je chante le générique quand mon plat arrive.
Dans ces mers-là, mais plus au Nord et dans l’autre hémisphère, je suis allé au Japon, par 3 fois. Au début de ce blog, je me suis épanché sur mes 2 derniers voyages, mais pas le premier. C’était en février 92, en tournée avec le groupe Pigalle à Tokyo au festival Halou. Voyage éclair : 4 jours ! On n’a pas vu le jour ! 4 jours de délire, à ne pas dormir, faire la fête et 2 concerts avec Liane Foly, FFF, Angélique Kidjo et l’affaire Luis Trio. Comme à mon accoutumé, en tournée, pour des raisons de connaissance ethniques (elle te nique ?), je me suis intéressé à la Japonaise, de près. J’en conclu que ce n’est pas mon type de femmes. C’est toujours bon et important de savoir quel type de femmes on nem, non ?
Curieusement et en ce qui concerne, il me semble avoir trouvé… C’est une bien grande satisfaction avant le jour de l’apocalypse, n’est ce pas ?...
UMP : pendant que j’écris un tremblement de terre de 7,3 sur l’échelle de Richter du côté de Fukushima. Hum… ça sent le roussi.