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RechercherDerniers commentairesmerci pour le concert d'hier soir à aix en othe, ainsi que pour les dédicaces ( du riff hifi chez les rockeurs
Par RICHIER Philippe, le 07.07.2024
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Par Via romance, le 08.04.2021
mon ami d'enfance. les jeux d'indiens, il était "bison noir", et moi "biche agile".
la forêt, ses grands arbr
Par Anonyme, le 21.11.2020
j' ai connu les 5 !
Par Anonyme, le 24.07.2020
merci mon ami, amour.
Par Stéphane Hervé, le 24.07.2020
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Date de création : 04.04.2011
Dernière mise à jour :
20.10.2022
514 articles
jeudi 25 Octobre.
Quand je pense que j’aurais pu être dépucelé par la belle Béatrice à l’âge de 18 ans. C’était la fille de bougnat auvergnat qui possédait un café sur le quai Alphonse Le Gallo à Boulogne Billancourt. On faisait de l’athlétisme ensemble à l’ACBB, l’Athlétique Club de Boulogne Billancourt. C’était une fille, avec des lèvres pulpeuses, un corps que l’on se plait à reluquer et surtout, joie d’entre les joies, des seins magnifiques. Elle se sentait bien seule durant notre traditionnel stage annuel de printemps que l’on effectuait à Saint-Gilles Croix de vie. En fait, elle attendait des nouvelles de son fiancé qui tardait tellement à venir. Alors collectivement, on s’est fendus d’une lettre d’amour afin qu’elle ne soupire plus, ça donnait ceci :
« Au moment où les arbres bourgeonnent où les oiseaux gazouillent et que le soleil darde mon cœur est ivre de tendresse et mes pupilles pleurent ton soleil. Mon corps brûlé de ton regard aspire à la fraîcheur de ta source de vie. La soie de ta peau mate engendre sous mes doigts des frissons alizéens. La prunelle de tes yeux n'a d'égal de splendeur que l'astre des temps dont je suis le disciple. Lorsque ton buste se gonfle tel un arc qui se bande mon souffle ne domine plus la tempête qui s'agite au creux de tes reins. Comme le lutin égaré j'allume sournoisement au creux de ta forêt un brasier ardent qui anime ton île vierge en un volcan de volupté.
Ainsi je m'imagine nageant sur l'océan écumé de ton corps nos yeux se confondent et nos bouches communiquent dans un même souffle rauque de raz de marée de plaisir. Mais seul devant ce miroir que devrait refléter ton image irréelle de fée. Je m'abandonne aux phantasmes qui je l'aspire deviendront réalité. Les mots ne sont pas assez forts pour exprimer les sentiments de mon ventre affamé de naufragé de l'amour ».
Je n’avais pas encore envie d’elle ; p’tête parce que j’avais quinze, seize ans. C’est venu quand j’ai eu 18 ans, et que ma libido venait me titiller du côté où ça fait du bien. Un soir, je me suis retrouvé seul chez elle. On n’a commencé à s’embrasser et à se tripoter, ça n’a pas été plus loin, tout en ayant les sens et le désir en éveil. Un peu plus tard, parce que ça me travaillait intrinsèquement le ciboulot, je l’ai rejoints au fin fond des Yvelines où elle était de garde d’enfants, dans une grande et belle demeure ; ça possédait le côté romantique à souhait, de ses moments où les conditions étaient réunis pour que la Chose puisse enfin se produire. On était bien chaud, je la tripotais tout ce qu’il fallait, plus que de raison, notamment ses seins toujours aussi magnifiques quand, en prenant tout mon courage de puceau entre les deux mains, je lui ai proposé qu’on le fasse… Enfin. Elle a refusé en m’annonçant avec une petite voix qu’elle avait peur que l’on fasse des tâches sur le lit. Et moi, tel le sombre nase, je me suis sentis dépourvu face à son échappatoire. Alors que tout à chacun, et même les plus bêtes d’entre nous, savent qu’il y avait mille façons pour que ça ne laisse pas de traces, mais surtout qu’il y a toujours moyen de convaincre une femme, en insistant un peu, disons, avec des arguments convaincants, état d’une simple évidence que ma non expérience était bien loin de posséder. J’ai été un gros nul ce soir là, me demande en l’évoquant si je n’en ai pas des regrets. Je suis sûr que ma vie sexuelle en aurait été changée. D’abord je me serais dépucelé 2 ans plus tôt et p’tête que cette demoiselle aurait été mon initiatrice. Putain cong’, en l’évoquant 35 ans bien tassé plus tard et avant le jour de l’Apocalypse, j’aurais envie de la retrouver et de lui dire tout ça. La retrouver certes, mais sûrement être déçu…