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RechercherDerniers commentairesmerci pour le concert d'hier soir à aix en othe, ainsi que pour les dédicaces ( du riff hifi chez les rockeurs
Par RICHIER Philippe, le 07.07.2024
via romance site officiel :
http://viar omance.e-monsi te.com/
disco graphie officiel et officieuse disponib
Par Via romance, le 08.04.2021
mon ami d'enfance. les jeux d'indiens, il était "bison noir", et moi "biche agile".
la forêt, ses grands arbr
Par Anonyme, le 21.11.2020
j' ai connu les 5 !
Par Anonyme, le 24.07.2020
merci mon ami, amour.
Par Stéphane Hervé, le 24.07.2020
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Date de création : 04.04.2011
Dernière mise à jour :
20.10.2022
514 articles
Samedi 15 Septembre.
Même si j’en imbibe de manière énumératrice, mes chroniques ne sont pas pétries par la nostalgie… Disons que je l’évite, même si je ne m’élève pas haut… À mes grands regrets*.
La nostalgie, camarade, est une plaie vivante qui ne se referme que lorsque la mort daigne nous accepter (et réciproquement). Avant, on va passer par des tas d’états qui font que l’on s’en tartine des couches aux sédiments entartrés.
Dans cette notion, en mettant de côté presque tous les malheurs qui l’ont jalonné, comme les temps révolus, les lieux et gens disparus, le vécu en général, on a souvent la démarche pratiquement inconsciente d’encenser ce passé. Tout était beau dans le meilleur des mondes possibles. Le cerveau a tendance à faire le tri et à ne garder que les bonnes choses ; je ne dis pas que ça marche à tous les coups, puisqu’on n’est pas tous gaulé pareil, mais c’est souvent ainsi.
Effectivement, par rapport aux lieux, ma ville, ma capitale, j’enrage souvent, de la tronche qu’on a eu tendance à lui filer. La disparition de lieux où l’on a vécu, des rues, des maisons, des quartiers entiers voués à la démolition, livrés aux hégémonies de cupides spéculateurs immobiliers, ne me provoque que colère et sûrement pas la compréhension de la transformation, même si la vétusté de certains lieux et les matériaux préhistoriques employés et dangereux, ne laissent guère le choix. C’est terrible quand on retourne dans un endroit où l’on n’est pas allé depuis des années de voir la tronche que ça s’est chopé. Je me revois entre Saint-Gilles Croix de Vie et Saint-Hilaire du Riez sur l’avenue de la corniche à proximité du Trou du Diable (ouf ! la roche ne s’use qu’à cause de l’érosion…). C’était un terrain de jeu, de liberté et d’insouciance, durant mes stages d’Athlétisme dans une des colonies de la ville de Vanves. C’était la campagne, à la limite sauvage. Le choc fut sans ménagement. Ça pousse comme le chiendent les immeubles et les hôtels. Ça se nique ton littoral, ça casse l’ambiance. Double berk ! On se remet une petite couche de souvenirs et vite on fait sombrer dans l’oubli : ça fait trop mal !
Heureusement, la mémoire, machine bien rôdée et sélectrice, élimine certains éléments géographiques qui nous font oublier à l’exactitude ce qui nous a touché. Il n’en est pas de même pour les gens : nos chers (ho ! pas que) disparus. Même ceux qui n’étaient pas gentils lorsqu’on les a connus, on a propension à leurs donner bonne morale et bonne conduite. Soyons réalistes, les gros méchants le restent, mais un peu moins. Il sera temps de citer quelques exemples un peu avant le jour fatidique. En ce qui me concerne, la liste sera longue ; j’y peux rien, j’aime trop les gens.
Quand, j’étais programmateur aux trois baudets, j’ai eu la chance de me retrouver sur la scène de la salle en compagnie de Georges Moustaki, grand auteur de chanson notamment pour Serge Reggiani pour qui il avait écrit « Madame Nostalgie ». Ma curiosité me poussa à savoir comment il ressentait d’être là 40 ans pus tard, lui qui dans son texte est si dur, mais si réaliste avec la nostalgie**. Il était troublé, hésitant, mais j’ai senti qu’il avait cette notion du « c’était mieux avant ». Benh voui, les souvenirs ont surgi et comme dirait Albert Camus: « la pensée d’un homme est avant tout sa nostalgie ».
Sans nul doute, en toute évidence, incontestablement voire irréfutablement, à l’approche du jour de l’Apocalypse la notion de nostalgie (même qu’on y reviendra), prend tout son sens primaire, dans la mesure où, nous allons, à tour de bras à s’en faire de la tendinite, nous gaver de passé fatalement dépassé par les circonstances aggravantes que sont la fin de nos mondes…
* Ha ! Ha ! Terme grave propre à la nostalgie.
** extrait :Madame Nostalgie, Depuis le temps que tu m'accables, J'ai envie d'envoyer au Diable, Ton mal d'amour si mal guéri.
See: http://de.wikipedia.org/wiki/Johann_Ernst_Gotzkowsky
Johann Ernst Gotzkowsky
Johann Ernst Gotzkowsky (auch Gotzkowski oder Gotskowski; * 21. November 1710 in Konitz; † 9. August 1775 in Berlin) war ein Berliner Unternehmer und preußischer Patriot. Gotzkowsky handelte mit Galanteriewaren, begründete die spätere Königliche Porzellan-Manufaktur Berlin und war ein bedeutender Kunsthändler und -sammler.
Inhaltsverzeichnis [Verbergen]
1 Leben
2 Schriften
3 Literatur
4 Weblinks
Leben [Bearbeiten]
Nach eigener Aussage verlor Gotzkowsky schon bald beide Eltern und wurde von Verwandten in Dresden aufgenommen, die jedoch seine Erziehung und Bildung vernachlässigt haben sollen. Als Vierzehnjähriger kam er zu einem in Berlin lebenden Bruder, der ihn 1724-30 in eine Kaufmannslehre in der "Sprögelschen Materialhandlung" schickte. Durch Lieferaufträge kam Gotzkowsky mit dem preußischen Hof in Verbindung und begegnete Friedrich dem Großen noch vor dessen Thronbesteigung.
Als dieser die Regierung übernahm, erteilte er Gotzkowsky den Auftrag, geschickte Künstler und Handwerker ins Land zu ziehen, um die heimatliche Industrie zu verbessern. Dazu sollte er auch neue Manufakturen gründen. Zunächst fungierte Gotzkowsky mit seinem Juwelen- und Galanteriewarenhandel als Hoflieferant für Schmuckdosen, Uhren, Stockgriffe, Ringe etc.
1744 übernahm Gotzkowsky eine Samt- und 1753 auch eine Seidenfabrik, die beide bald über 1.500 Personen beschäftigten. 1747 erwarb er das später Nicolaihaus genannte Gebäude an der Brüderstraße.
Ab 1750 beschäftigte sich Gotzkowsky auch mit Kunsthandel: 1755 wurde er von Friedrich II. beauftragt, Gemälde für die gerade fertiggestellte Galerie von Schloss Sanssouci einzukaufen. Von entscheidender Bedeutung für Gotzkowskys Sammler- und Vermittlertätigkeit war seine Verbindung zum Intendanten der Dresdner Kunstsammlungen, Karl Heinrich von Heineken. Der Siebenjährige Krieg zwang den König jedoch seine Finanzmittel anderweitig aufzuwenden, so dass Gotzkowsky die bereits eingekauften 108 Bilder anderweitig verkaufen musste. Allerdings finden sich in einem späteren Katalog immer noch 92 der 108 Bilder im Besitz von Gotzkowsky. Darunter befanden sich u. a. Stücke von Rubens, van Dyck, Rembrandt und zahlreiche zeitgenössische Deutsche: Christian Wilhelm Ernst Dietrich, Roos, Balthasar Denner, Christian Seybold.
Nach der Schlacht bei Kunersdorf 1759 reiste Gotzkowsky im Auftrag des Berliner Magistrats ins Quartier des Königs und brachte dessen Verhaltensbefehle zurück nach Berlin. Bei der Belagerung von Berlin im Oktober 1760 durch ein russisches Korps unter General Gottlob Heinrich von Tottleben sorgte Gotzkowsky für die Verpflegung der preußischen Besatzung und das vom Prinzen von Württemberg in Eilmärschen herangeführte Hilfskorps. Er bewirkte dann, als die Kapitulation der Stadt nicht mehr zu vermeiden war, dass die auferlegte Kontribution von den zunächst angegebenen 4 Mio. Talern auf 1,5 Mio. herabgesetzt wurde. Davon bezahlte er allein 50.000 Taler aus seinem eigenen Vermögen. Zu dieser Zeit war er auf dem Höhepunkt seines wirtschaftlichen und gesellschaftlichen Einflusses und Ansehens.
Zu Beginn des Jahres 1761 erwarb und erweiterte Gotzkowsky auf Wunsch des Königs eine Porzellanmanufaktur, die ein kleiner Nachfolgebetrieb der ersten von Wilhelm Kaspar Wegely gegründeten Berliner Porzellanmanufaktur war. Allerdings war dies ein kostspieliges Unternehmen, das seine Finanzen stark beanspruchte. Schon seit Beginn des Siebenjährigen Krieges investierte er außerdem in spekulative Konjunkturgeschäfte, was seine finanzielle Lage ebenfalls angriff.
Ein solches Geschäft war der Kauf russischer Getreidemagazine im Oktober 1760. Zunächst wollte Gotzkowsky ein Konsortium gründen, von dem er nur einen Fünftel halten würde. Allerdings verpflichtete er sich, dem russischen Vertreter - Fürst Dolgoruki - eine Prämie von 100.000 Talern auszuzahlen. Nach Abschluss des Vertrages stellte sich heraus, dass die Getreideknappheit, auf die man spekulierte, nicht so gravierend ausfiel und dass das Getreide von schlechter Qualität und schwer abzusetzen war. Das Bankhaus de Neufville in Amsterdam war zahlungsunfähig geworden und die anderen Teilhaber an dem russischen Geschäft hatten sich rechtzeitig zurückgezogen oder waren selbst insolvent. Fürst Dolgoruki beharrte auf der Zahlung und beschwerte sich bei den preußischen Ministern für Auswärtige Angelegenheiten. Somit lag die ganze Schuldenlast gegenüber den Russen von insgesamt 221.000 Talern auf Gotzkowskys Schultern, dazu weitere Forderungen aus anderen Geschäften, weil mit dem Hubertusburger Frieden im Februar 1763 der spekulative Markt zusammenbrach und eine Wirtschaftskrise einsetzte. Ein Vergleich bezifferte im April 1763 die Forderungen an Gotzkowsky mit 2.400.000 Talern. Jetzt erwarb der König die Porzellanmanufaktur, die nun den Namenszusatz Königlich-Preußische erhielt.
Friedrich der Große erklärte sich bereit, einige Gemälde zu kaufen, die er vor dem Krieg bei Gotzkowsky bestellt hatte. Die Schuld gegenüber der russischen Regierung beglich Gotzkowsky mit dem Verkauf von 317 Gemälden aus seiner eigenen Sammlung, die den Grundstock der Sammlung Katharina der Großen darstellten und (zumindest teilweise) bis heute in der Eremitage in St. Petersburg aufbewahrt werden. Nach damaligen Zuschreibungen befanden sich darunter 13 Werke von Rembrandt, 11 von Rubens, zwei von Raffael und eines von Tizian. Nina Simone Schepkowski behauptet anhand bislang unbeachteter Quellen, dass Gotzkowskys erfolglose Getreidegeschäfte mit Russland in einem diplomatischen Disput zu eskalieren drohten. Friedrich II. drängte Gotzkowsky daraufhin zum Bilderverkauf an die russische Zarin, um die eigenen Bündnispläne mit Russland nicht zu gefährden.
Die Opfer, die Gotzkowsky bei der Tilgung seiner Schulden auf sich genommen hatte, der nun stark beschädigte Ruf als Unternehmer und etliche weitere Bürgschaften führten 1766 schließlich zu seinem Bankrott.
Johann Ernst Gotzkowsky starb am 9. August 1775 in Berlin. Nach ihm sind in Berlin-Moabit die Gotzkowsky-Grundschule, Gotzkowskystraße und Gotzkowskybrücke benannt.
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